Souvent, on oppose la vision métier à la vision IT. Cependant, itérer des refontes de processus dans une optique d’optimisation, sans regard pour leur implémentation, revient à vouloir placer Lewis Hamilton dans une 4L : l’idée est bonne, mais il y a peut-être plus efficace.
Le premier impact de la dette technique, c’est la difficulté à faire évoluer les fonctionnalités de son système d’information.
Souvent, on prend des raccourcis en phase de cadrage pour des raisons budgétaires, de planning, ou tout simplement parce que l’on se dit que l’on fera mieux les choses plus tard… sans jamais le faire.
Cela entraine un manque de capacité à répondre aux besoins ultérieurs, notamment à tous ces nouveaux enjeux qui apparaissent régulièrement (par exemple, construire une vision 360 est compliqué sans une démarche référentiel maitrisée). Le SI devient une sorte de boulet au pieds du métier, qui l’empêche de s’adapter aux évolutions du marché. Certains chantiers sans valeur ajoutée métier, mais structurant pour les évolutions futures, ne peuvent pas être repoussé : c’est la notion de chantier « enablers ». Ce point peut devenir particulièrement préoccupant dans le cadre de projet règlementaires (les différents chantiers issus de Bâle 2, ou les sujets LAB LAT sont de bons exemples, du fait des exigences en termes de qualité des données), ou dans des contextes ou l’agilité est vitale (le secteur du Retail, par exemple, où le déploiement d’une nouvelle fonctionnalité devient rapidement un enjeux critique vis-à-vis de la concurrence).
Le deuxième impact de la dette technique est l’image que l’on renvoie aux différentes parties prenantes externes à l’entreprise, mais aussi aux internes.
Une interruption de service due à un plantage nécessitant de redémarrer les environnements de production entraine une image très négative pour le client, qui peut entrainer un désengagement en cas de fréquence trop élevée (pensez à la dernière fois où votre connexion internet personnelle ne fonctionnait plus, et au stoïcisme dont vous avez su faire preuve à ce moment). En interne, cela entraine un désengagement progressif des équipes, du fait de tâches répétitives à très faible valeur ajoutée, du sentiment de faire systématiquement des solutions dégradées, ou à la survenue fréquente d’incidents de production. Ces points génèrent de la frustration, dans le sens où ils donnent le sentiment que la qualité n’est pas le souci de l’entreprise (surtout lorsqu’on leur demande de prioriser un sujet, pour au final dénaturer le résultat de l’étude). Si cela entraine un turn over dans vos équipes, le sujet est préoccupant. Si vous êtes en difficulté de recrutement, cela peut devenir critique, d’autant que les premières victimes du turn over sont les hauts potentiels, qui souhaitent être pilotés par la qualité et la richesse des sujets.
Le dernier impact de la dette technique que j’évoquerai dans cet article est budgétaire.
En effet, toute dette doit se rembourser un jour, et entraîne des coûts récurrents d’ici là. Cela va générer des coûts projets plus importants lors des évolutions, ou des actions humaines pour corriger des erreurs issues de ces dettes (par exemple, le rapprochement des chiffres comptabilité / gestion réalisé manuellement, faute de chaîne de traitement fiable). N’oublions pas aussi ces applications dont le décommissionnement est acté, mais jamais terminé (ce qui entraîne de nombreux coûts, mais une augmentation significative de la complexité du SI du fait de la parallélisation des chaines).
Au final, cela se traduit par des coups de canif dans votre budget projet, sous forme de coûts de runs importants, ou de chiffrages projets plus importants que prévu (matérialisés par le classique « La DSI coûte trop cher »).
Il y a bien entendu beaucoup d’autres raisons qui devraient nous pousser à ne pas négliger la dette, cependant, ces 3 points sont des enjeux que l’on retrouve dans toutes les DSI : Agilité, Expérience utilisateur / qualité de service, et maîtrise budgétaire.
Dans un prochain article, nous allons parler de la gestion de la dette dans le cadre des projets Agile.
Vous êtes probablement en train de mettre en place votre « Data Lake », « Data Hub » et autres « Data Labs ». A cet instant, nombreux sont les vendeurs autour de vous, briguant une place dans votre cœur…Ils peuvent tout changer ! Ils peuvent faire de vous un brillant Chief Data Officer…
« D’abord, Migrez toutes vos données dans le Cloud sans inquiétude, c’est là que vous trouverez nos outils magiques qui tirerons toute la valeur de vos données ! » Allez, avouez qu’il ne le disent pas comme ça, mais que ce n’est qu’à peine caricaturale. Une variante ? : « Si vous voulez être THE Data Driven Company, notre outil est fait pour vous. Et, il est justement tout à fait adapté et pensé pour votre métier et vos données. Alors Essayez-le. Nous avons même ce qu’il faut pour vos Data Scientist. Tout en un ! ». En changeant quelques mots de leur beau scénario, on ne serait pas si loin d’une pub pour dentifrice…
Je vous prie de ne pas répondre trop vite à ces « experts » de la donnée. De même, n’embauchez pas trop hâtivement une armée de jeunes « Data Scientists ». Ne leur dites pas qu’ils sont l’avenir et qu’ils vont construire des algorithmes des plus innovants, quand au final ils deviendront les rois des Dashboards à faire pour hier.
Votre seul objectif en tant que CDO est de mesurer et d’augmenter la valeur des données de votre Organisation. Et avant d’embaucher qui que ce soit, ou d’avoir le plus gros Data Lake avec le plus de données possible pour justifier l’existence de votre équipe, si vous commenciez par structurer deux approches : L’une par la valeur « Potentielle » de vos données, l’autre par sa valeur « Effective » :
Augmenter le potentiel de vos actifs Data stratégiques :
Appréciez et faites comprendre aux acteurs de votre entreprise la valeur de son patrimoine data. Peut être, allez-vous à la salle de sport tous les jours, ou peut être faites vous votre petit jogging quotidien ? Les gens vous disent : « Tu as l’air en forme, tu es en bonne santé ! ». Et vos données sont-elles en bonne santé ? Qualité ? Disponibilité ? Sécurité ? Travaillez sur vos assets transversaux (Client, Produit, …), assurez-vous qu’a minima leur santé est assurée par une gouvernance adaptée. Sécurisez ce potentiel minimal. Documentez, explorez, améliorez la valeur intrinsèque de vos données clés, mettez à disposition des données à potentiel à vos analystes (via une plateforme adaptée : « Data Lake » ou autre !). Mais ne faites pas que ça, ou c’est la gueule de bois assurée.
Augmenter la valeur effective de vos données :
Parce que ce sont les usages de la donnée qui concrétisent réellement sa valeur, dans le même temps, travaillez continuellement avec les métiers pour comprendre et répondre à leurs usages concrets des données, et améliorez les usages existants !
Et pas seulement les usages qui rendent heureux vos Data Scientists et vos vendeurs de dentifrices préférés. Vous devriez précisément connaître les usages actuels des données pour lesquels certains collaborateurs bondissent : « Cette donnée ne sert à rien ! Je ne peux pas faire mon travail ! Je perds un temps fou, tout est faux 🙁 » Et s’il vous plaît, faites quelque chose pour eux en priorité, rentrez dans leur quotidien et leurs moultes fichiers excel, et changez les choses car vous êtes responsable. Améliorez la valeur d’usage de vos données.
Cher CDO, acheter une belle plateforme dans le Cloud et embaucher quelques Data Scientists ne suffira malheureusement pas à améliorer la valeur de vos données. Avant toute chose, assurez-vous que votre organisation est bien fondée sur l’équilibrage de deux axes clés :
1/ transformez des usages à valeur ajoutée grâce aux données
2/ développez le potentiel de votre patrimoine data pourrait bien vous faire gagner du temps et de l’argent.
Aujourd’hui, j’ai décidé de prendre ma plume (enfin mon clavier) pour partager avec vous un petit billet d’humeur à propos de deux activités qui occupent une grande partie de mes journées, le Crossfit et ma vie de Consultant chez Rhapsodies Conseil.
Vous vous demandez sûrement, mais où veut-il en venir ? Quel est le rapport avec la choucroute ? (#expressiondesannées80)
En fait, le Crossfit, que je pratique depuis plus de 3 ans, est devenu pour moi bien plus qu’un sport ou une passion, c’est un vrai mode de vie qui a naturellement pris une place majeure dans mon quotidien, pour une vie plus saine et plus équilibrée. Qui dit mode de vie, dit que mon job de consultant doit être en adéquation avec les valeurs prônées par celui-ci afin d’atteindre une harmonie pro/perso. C’est ce que j’essayerais de vous présenter juste après le petit rappel historique ci-dessous (le moment « culture » de ce billet d’humeur).
Le crossfit – kézako ?
Pour les non connaisseurs, le CrossFit est un programme de conditionnement physique général créé aux États-Unis par Greg Glassman dans les années 70 et qui prendra son appellation officielle en 1995. Il repose sur 3 principes clés : des exercices constamment variés, des mouvements fonctionnels et un entraînement à haute intensité.
Le mot CrossFit vient de Cross Fitness (en français, entraînement croisé), appelé ainsi parce qu’il mélange différentes activités physiques et sportives préexistantes. En effet, il combine principalement l’haltérophilie (épreuves JO, kettlebell, dumbell, …), la gymnastique (pompes, tractions, exercices à la barre ou aux anneaux, …) et des activités de cardio training (rameur, vélo, course, corde à sauter, …).
L’objectif ici, n’étant pas de faire la page Wikipédia du Crossfit, je vous explique comment cette activité sportive dynamise positivement ma vie professionnelle , surtout quand ses valeurs font écho à celles d’un Cabinet comme Rhapsodies Conseil.
Le programme CrossFit veut augmenter la capacité de travail dans ces différents domaines en provoquant par les entraînements des adaptations neurologiques et hormonales au travers des différentes filières métaboliques. Ceci afin de préparer ses pratiquants à s’adapter à n’importe quels efforts physiques rencontrés tous les jours grâce à la variété des entraînements, l’utilisation de mouvements poly-articulaires et l’intensité élevée du travail.
Crossfit Inc.
Crossfit et conseil même combat ?
Si nous analysons un peu les fondements précisés ci-dessus, le crossfiteur combine et mixe des exercices d’haltérophilie, d’endurance et des mouvements de gymnastique comme le consultant combine des activités d’expertise (métier, fonctionnelle, technique), de R&D, d’intelligence situationnelle (organisation, transformation, change ou tout simplement relations interpersonnelles avec les clients), de marcom (marketing des offres/produits, publications, évènements, …), de management (interne dans le cabinet ou externe dans ses projets clients) ou encore commerciales et cela au profit de chacune des activités (et donc de son métier de consultant) car elles se nourrissent les unes des autres tirant ainsi vers une amélioration continue globale.
Chez Rhapsodies Conseil, nous prônons cette pluridisciplinarité sur-mesure pour chaque individu et soutenons des trajectoires personnalisées en donnant les clés à chacun pour s’approprier sa carrière et orienter son parcours d’évolution. C’est aussi une façon de casser la routine et garder nos consultants motivés en leur évitant l’ennui.
Toujours plus loin, toujours plus haut
Si nous regardons un peu plus loin, le Crossfit a été conçu pour tester et challenger mentalement et physiquement avec une très haute intensité de travail ce qui pousse chacun des pratiquants au dépassement de soi (un des principes fondamentaux du Crossfit). Cette habitude à dépasser ses limites, à sortir de sa zone de confort, à aller là où on n’est encore jamais allé se traduit chez Rhapsodies Conseil également. Nous mettons en place un environnement propice et favorable à l’innovation et la disruption des idées établies !
Une citation de Mark Twain symbolise bien ce dépassement de soi, cette persévérance et cette exigence aussi bien personnelle que professionnelle.
Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.
Ensuite, une autre valeur fondamentale de notre cabinet de conseil, la bienveillance, se reflète très bien dans la pratique du Crossfit ! En effet, nous nous sommes toujours refusé à mettre nos collaborateurs en concurrence interne, nous favorisons une organisation collaborative faite de synergies et de complémentarités.
Dans le Crossfit, vous n’êtes en concurrence et en compétition qu’avec vous-même pour accomplir vos propres objectifs personnels (perte de poids, meilleure forme physique, meilleure santé, etc.).
De plus, la communauté Crossfit offre un environnement d’entraide et de partage. Vous n’êtes pas juste un membre qui a payé sa cotisation, vous faites partie d’une équipe soudée qui vous soutient durant chacun de vos entraînements. C’est la même chose pour l’ensemble de nos collaborateurs, malgré une localisation souvent dispersée en mission chez nos clients, ils savent qu’ils peuvent compter sur leur coach et leurs co-équipiers (principe d’équipes resserrées) en cas de besoin ou de difficulté.
Pour conclure, je dirais que malgré un monde piloté de plus en plus par l’égocentrisme et les réseaux sociaux, dans le Crossfit comme chez Rhapsodies Conseil, pas de place à la vanité et l’individualisme !
De la même manière que vous ne trouverez pas de miroir dans une salle de CrossFit, vous ne trouverez pas de récompense individuelle au détriment d’un autre collaborateur ou du collectif, car comme le dit un proverbe africain, « Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin. »
Les métadonnées deviennent une composante clé des approches data, en particulier pour s’y retrouver dans les méandres des sources de données et autres Data lakes / Data hubs.
Cet article, en Anglais, propose une vision historique et exhaustive des métadonnées jusque dans la dimension marketing, d’automatisation des traitements et, plus récemment, de GDPR.
Nous sommes un acteur de référence de la transformation et nous recrutons pour étoffer notre équipe d’Architectes d’Entreprise.
Découvrez dans cette vidéo une équipe sérieuse qui ne se prend pas au sérieux. Des personnalités variées, pleines d’humour et passionnées par le même métier : l’Architecture d’Entreprise.
Il fut un temps où, pour être un bon architecte d’entreprise, il suffisait de maîtriser la modélisation (BPMN, UML, Archimate…), les activités d’architecture (TOGAF, Club Urba-EA notamment), les 4 couches (les processus, le POS, etc.), et bien sûr une bonne vision des technologies.
Un article à ce sujet, de CIO, m’a interpelé récemment. Sur les 12 certifications présentées pour un architecte d’entreprise : 5 sont orientées infrastructures et cloud, 3 sur la méthode, une sur le réseau, une sur l’open source, une sur la sécurité et la dernière sur Salesforce.
Rien, pas un mot, sur la posture de l’architecte ?
Notre contexte a évolué
Or, l’architecte évolue désormais dans un écosystème différent : plus mouvant, plus incertain et plus collaboratif. Si l’environnement de l’architecte évolue, son spectre de compétences aussi. C’est devenu une combinaison à la fois de savoir-faire techniques (voir plus haut) et des savoir-être spécifiques à ces nouvelles manières d’organiser le travail : production en cycle court, décloisonnement des métiers, bref : l’architecte TOGAF se doit aussi d’être un architecte agile. Et parce que les certifications peuvent être utiles comme gage de confiance envers votre employeur ou vos équipes, je vous propose un tour d’horizon des 6 formations devenues indispensables selon moi, pour notre métier d’architecte.
1 : Poser les bases de l’agilité – scrum master ou product owner
L’architecte d’entreprise doit impérativement connaître les bases de fonctionnement des projets Agile (les cérémonies et les daily meetings, back-log, MVP, planification, etc.). Une formation Scrum Master ou Product Owner permet de se familiariser avec les essentiels. Une petite expérience pratique dans l’un ou l’autre ne nuirait pas !
2 : Appréhender l’agilité à l’échelle – safe
Pour passer à une dimension supérieure, il faut alors s’intéresser aux cadres d’agilité à l’échelle. LeSS, DA, Scrum of Scrum sont des bons cadres. Connaître les avantages des uns et des autres permettra d’en discuter en connaissance de cause.
SAFe est le cadre qui intéresse le plus les entreprises en ce moment.
Discuter des avantages et inconvénients de ce cadre est intéressant ; en attendant il est devenu un incontournable. Une certification serait alors utile (en tant que responsable d’une équipe de consultants, je pense que nos clients vont nous le demander de plus en plus).
3 : Adopter une posture agile – management 3.0
Connaître des cadres d’agilité à l’échelle ne fait pas de nous des agilistes. Il faut comprendre la posture agile et ce qui va avec. Une formation de type Management 3.0 est un bon exemple pour comprendre les vrais fondements de l’agilité et de l’auto-organisation.
Les principes du management 3.0 sont basés sur : faire les choses justes de la bonne manière. Quelques principes que l’on peut citer : manager le système plutôt que les individus, prendre en compte les inter-actions sociales dans les relations de travail et simplifier les règles de collaboration entre individus.
Cette formation, comme son nom ne l’indique pas, s’adresse à tous, manager ou non.
4 : Savoir animer des ateliers – design thinking et lean start-up
Avec l’avènement de l’agile et aussi du digital, de nombreux types d’ateliers pour inventer / construire des solutions et des plannings, travailler l’intelligence collective, bâtir des équipes, etc. sont maintenant disponibles.
Avec un collègue coach agile, j’avais recensé plus de 40 ateliers ! Il est important pour un architecte d’entreprise, qui est amené à dialoguer avec nombre de personnes différentes dans l’entreprise, de maîtriser la pratique de ces ateliers pour les mettre en œuvre quand le besoin s’en fait sentir. Le Design Thinking et le Lean Start-up sont des essentiels de nos jours, mais les autres méritent de s’y intéresser.
Vous verrez même qu’à force, vous pourrez aussi créer / inventer vos propres jeux et animations !
5 : Savoir jouer / construire la solution – lego
Savoir présenter une synthèse des travaux, réconcilier plusieurs points de vue (merci TOGAF de nous avoir rappelé ce bon principe), construire les solutions les plus simples possibles, sont dans les fondamentaux de l’architecture. Au-delà d’une formation à la « facilitation graphique », nous pouvons même aller vers les bases du scripting et de la présentation de vidéos pour « vendre » nos solutions.
Dans les nouvelles techniques de construction de solutions, notons le Lego Serious Play qui prend une certaine importance et peut s’avérer très utile pour faire parler et converger différentes populations.
6 : Devenir un coach – process communication
Dans son/ses (nouveau(x)) rôle(s), l’Architecte d’Entreprise aura sûrement besoin d’être coaché pour l’aider dans son changement de posture et trouver sa place dans les nouvelles organisations. Mais il peut lui aussi profiter des techniques de coaching pour aider des projets, des équipes, des chefs de projet ou tout simplement des collègues architectes !
La process communication, mais aussi la PNL, sont des voies intéressantes à maîtriser.
Pour les architectes, les équipes en agilité (Product Owner, Scrum Master, membres) et aussi pour les parties prenantes. Une vue d’ensemble de l’agilité (de SCRUM à l’entreprise, en passant par les cadres d’agilité à l’échelle), une vue d’ensemble des travaux de l’architecture (selon différents référentiels), des exemples concrets de mises en œuvre et surtout un jeu participatif pour découvrir les interactions entre les architectes et les projets agiles (à une certaine échelle) font de cette formation une synthèse de l’évolution de l’architecture et des projets agile. Au-delà de la technique nous évoquons aussi les soft-skills nécessaires.
Conclusion
Voilà mes idées de méthodes et certifications d’animation, de facilitation et de co-construction pour faire évoluer notre métier complexe vers les enjeux d’aujourd’hui.