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Création de la cellule d’Architecture

Création de la cellule d'Architecture

21 octobre 2020

– 1 min de lecture

Olivier Constant

Senior Manager Architecture

Contexte

Un programme de transformation a été engagé afin mettre en place une nouvelle Banque en ligne. Cette nouvelle banque doit mettre en place des pratiques d’Architecture d’Entreprise afin de maitriser la mise en place de son nouveau SI et de ses futures évolutions

Solution

Assister le nouveau responsable de l’Architecture d’Entreprise dans sa prise de fonction:

Bénéfices

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Accompagnement Hybrid Integration Platform

Accompagnement Hybrid Integration Platform

20 octobre 2020

– 2 min de lecture

Eliott Bennaceur

Contexte

Le client a initié une grande transformation métier sur 6 ans. Afin d’accompagner cette transformation à l’ère du Digital, un programme visant à mettre en œuvre une Hybrid Integration Platform d’Entreprise afin de supporter tous les cas d’usages d’intégration de données inter-applicative a été lancé.

Missions

Au sein de la Direction de l’Architecture, accompagnement au cadrage et à la mise en œuvre d’une Hybrid Integration Platform (HIP) :

Bénéfices

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Amélioration continue de l’activité projet et de son impact sur la transformation d’entreprise

Amélioration continue de l’activité projet et de son impact sur la transformation d’entreprise

20 octobre 2020

– 2 min de lecture

David Couillard

Directeur Transformation Office Management

Contexte

Rhapsodies Conseil a aidé une société de service à mettre en place un dispositif d’amélioration de son activité projet. En renforçant cette activité la société souhaitait améliorer la performance de ses projets et par là accroître la capacité de transformation de toute l’entreprise.


Comme beaucoup d’entreprises actuellement, cette société est confrontée à l’arrivée de nouveaux concurrents très innovants qui bouleverse le marché. Pour faire face, il est nécessaire que les projets permettent de mettre en œuvre rapidement des changements stratégiques vitaux.

Solution

Difficile face aux acteurs des projets (managers, analystes, experts, etc.) avec toujours plus de nouvelles injonctions. Nous avons proposé de privilégier une approche permettant de responsabiliser et d’animer ses acteurs.

Nous avons mis en place une démarche de travail agile, orchestrée en saisons, et centrée sur les thèmes-clés à faire évoluer (formation, reporting, outillage, sponsorship, etc.). Chacun a pu décider de participer ou non, sur la base du volontariat aux ateliers de réflexion et de changement.

Peu à peu, nous avons ainsi permis de développer un réseau d’alliés de la démarche, qui grossissant a progressivement convaincu ses pairs.

Bénéfices

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5 étapes de mise en conformité RGPD

5 étapes de mise en conformité RGPD

19 octobre 2020

– 2 minutes de lecture

Valentin Defour

Consultant Senior Transformation Data

Chaque année, le 28 janvier est la journée européenne de la protection des données. Et chaque année, cela peut rappeler à beaucoup de gestionnaires de plateforme data clients que cette dernière n’est toujours pas totalement conforme aux lois de la RGPD.


La CNIL nous rappelle qu’une non mise en conformité RGPD de vos data clients peut entraîner des sanctions pécuniaires pouvant par ailleurs être rendues publiques.


Si c’est votre cas, rassurez-vous, nous avons formalisé pour vous une vidéo qui vous guidera vers la mise en conformité RGPD de vos plateformes data clients. Par plateforme data clients, nous entendons ici référentiels clients, base CRM ou encore plateformes décisionnelles indépendamment des technologies utilisées.


Ces étapes reposent sur 3 principes clés :

Voici les 5 étapes de mise en conformité de votre plateforme data clients


Etape 1

Il faut effectuer une classification pérenne des données, personnelles ou non, validée par la conformité ou le service s’y apparentant et associée à un stockage logique différent. On peut imaginer ici un système de coffre-fort qui contiendrait les données personnelles en y limitant l’accès.


Etape 2

Il est nécessaire de mettre en place un système d’habilitation robuste et une exposition de ces données personnelles selon des finalités pertinentes et bien définies. Tout cela afin d’en cadrer l’utilisation.


Etape 3

Vous devez poser des procédures de gestion automatisée des droits des personnes. Il faut par exemple être capable d’effectuer de manière rapide et efficace, le traitement d’une demande de droit à l’oubli d’un client. Cela doit être applicable sur la totalité de la chaine de traitement de l’information.


Etape 4

Il vous faut paramétrer l’exécution de purges automatiques permettant de respecter les durées réglementaires de conservation des données personnelles. Ce sujet est toujours délicat puisqu’il n’existe à ce jour pas de référentiel européen ni même national des durées de conservation. Il est donc sujet à interprétation. On recommande toutefois de mettre en place des durées de conservation raisonnables, en phase avec la finalité métier du traitement de données personnelles.


Etape 5

Enfin, cinquième et dernière étape : il faut mettre en place une supervision sur la totalité de la chaine de traitement de la donnée personnelle, afin d’être alerté d’une éventuelle data breach pouvant mener à une perte ou un vol de données personnelles. Dans ce cas là, le client doit être prévenu rapidement.

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2022 : année riche en défis pour les Systèmes d’Information assuranciels

2022 : année riche en défis pour les Systèmes d’Information assuranciels

19 octobre 2020

– 1 minute de lecture

David Couillard

Directeur Transformation Office Management

Comment une démarche de type schéma directeur peut aider à relever les défis de 2022 dans l’assurance

A la suite de récentes interventions sur ce sujet, Rhapsodies Conseil et Blooming Partners proposent, dans les lignes qui suivent, leur témoignage de praticiens en la matière :


En ce qui concerne l’évolution des Systèmes d’information dans l’assurance, plusieurs tendances lourdes marquent notre époque :


En ce qui concerne les opérations de Schémas Directeurs des SI, elles ont évolué quant à leur finalité :


Pour conduire leurs Schémas Directeurs les sociétés d’assurance mettent en œuvre une démarche qui leur est adaptée :


Itérative, continue, engageante pour l’ensemble des acteurs métiers comme SI, assujettie à la mesure d’OKR exigeants, pour la démarche SDSI, le chemin compte désormais plus que la destination, en faisant peu à peu émerger le SI comme un bien commun d’entreprise.




Co-rédaction : Thomas Laborey (Blooming Partners) & David Couillard (Rhapsodies Conseil).


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Petits outils d’Architecture d’Entreprise, grands bénéfices !

Petits outils d’Architecture d'Entreprise, grands bénéfices !

10 septembre 2020

– 5 min de lecture

Marie Gazal

Il y a quelques temps, nous avons démarré une saga sur deux sujets qui nous semblaient décorrélés : outils d’Architecture d’Entreprise et Agilité. La question sous-jacente est bien de savoir comment l’outil d’Architecture d’Entreprise peut apporter de la valeur aux équipes opérationnelles, sans perdre pour autant sa simplicité d’utilisation et ses cas d’usage principaux.

De nouveaux acteurs dans le secteur des outils d’Architecture d’Entreprise ont axé leurs efforts sur la facilité de prise en main et la qualité des restitutions à la volée. Un outil facilitant ce travail de manière récurrente peut permettre d’embarquer des utilisateurs « non-architectes », dont l’activité quotidienne est déjà consacrée à 100% à des tâches opérationnelles.

Mais ces nouveaux outils signent-ils pour autant la fin des leaders historiques du marché ? Et surtout, cela signifie-t-il qu’ils doivent être utilisés à des fins plus opérationnelles par les équipes ?

La fin des dinosaures ?

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Les outils historiques du marché de l’Architecture d’Entreprise ont été conçus par des experts pour des experts. Et qui en est pleinement satisfait aujourd’hui ? Étant donné leur inertie et la lourdeur de leur configuration, ces outils peuvent exclure les projets et les équipes agiles.

On reproche aux EAMS (Enterprise Architecture Modeling System) d’être des logiciels difficiles d’utilisation, obscurs pour les utilisateurs occasionnels et nécessitant une phase de formation non-négligeable avant utilisation. Trop souvent l’architecte d’entreprise est arrivé avec l’artillerie lourde pour imposer outils et process : c’est tout sauf agile !

Par ailleurs, l’intérêt de l’Agilité est d’apporter rapidement de la valeur au métier, grâce à aux interactions au sein d’équipes mixtes métier/IT. Formés à plusieurs domaines, les développeurs polyvalents sont capables de comprendre les besoins et d’interagir avec les experts pour prendre les meilleures décisions possibles. Cette interaction entre plusieurs disciplines favorise la montée en compétence et enrichit les échanges. De la même façon, des outils déployés par les architectes pour les architectes apportera moins de valeur que s’ils sont ouverts à d’autres domaines d’expertise et améliorés en fonction des enjeux de chacun.

Alors, architectes, puisons notre inspiration des opérationnels et de leurs outils !

Jeune outil deviendra grand

jeune outil AE

Face aux mastodontes historiques, de nouveaux acteurs ont émergé ces dernières années, jusqu’à devenir de sérieux concurrents. Serait-ce la réponse à l’incompatibilité apparente entre besoins de l’Architecture d’Entreprise et des équipes opérationnelles ?

Certains outils sont de simples modelers. Sans prérequis particuliers de prise en main, ils répondent directement aux besoins de modélisation des projets. Encore faut-il trouver le bon compromis entre la gestion centralisée d’un référentiel d’assets IT et de l’architecture mouvante des projets agiles.

D’autres outils, à peine plus complexes en apparence, gèrent même un référentiel : le principe est d’alimenter l’outil via l’import de données pour générer automatiquement des rapports. Interfacer un outil d’Architecture d’Entreprise et un outil de modélisation est même possible nativement chez certains éditeurs. Ou bien, sous réserve d’avoir quelques « techos » disponibles, une interface « maison » entre l’EAMS et l’outil de modélisation projet (tel Archi, ou autre) permet de dissocier la partie référentielle du projet et de ses changements. Tout cela pour un contenu toujours plus riche, mais structuré !

Nous pensons également aux éditeurs qui intègrent de manière « out-of-the-box » des outils utilisés par les projets, comme la suite Atlassian. En quelques clics sur Confluence, par exemple, il devient possible de partager au sein de l’équipe des diagrammes et roadmaps modélisés dans le logiciel d’AE, de manière dynamique et embarquée. La démarche se veut collaborative : cette interconnexion ferait-elle le pont entre les deux mondes pour finalement mettre tout le monde d’accord ?

Grâce à ces logiciels, il devient possible de centraliser toutes les informations importantes pour les projets et l’entreprise dans une vue unique et partagée. Si le but est de communiquer des informations clés, c’est suffisant. Architectes d’entreprise et équipes agiles échangent leurs connaissances (opérationnelles ou stratégiques, détaillées ou macroscopiques, délimitées ou transverses) pour mener les projets de transformation de l’entreprise au mieux.

L’outil d’AE, l’ouvrir aux opérationnels ou pas ?

ouvrir outil AE aux opérationnels

Pour garantir la mise à jour régulière du référentiel d’architecture, l’implication des équipes opérationnelles (exploitation, projet, développement, intégration) est indispensable. Car ce sont eux, les « sachants » ! 

Or, si les équipes opérationnelles ont besoin de connaître l’historique des incidents et évolutions de l’application, ses certificats associés et ses contrats de support, les architectes souhaitent principalement visualiser l’existant et bénéficier d’analyse d’impacts exhaustives sur un périmètre précis.

Pour autant, faut-il que l’outil d’AE se plie aux besoins des équipes opérationnelles pour garantir sa mise à jour effective ?

La réponse à cette question réside dans le fait que pour faire fonctionner un logiciel d’architecture, il faut se focaliser d’abord sur un ou deux cas d’usage majeurs, avant d’en élargir l’utilisation au gré des opportunités et des besoins. Que ce soit un outil flexible succinct ou un imposant dino, il faut revoir à la baisse les attentes vis-à-vis d’un outil d’Architecture d’Entreprise.

L’enjeu est donc de bien cadrer le scope. Votre outil d’Architecture d’Entreprise peut très bien se contenter de renseigner les grands jalons et dates d’atterrissage, afin de donner de la visibilité au métier et à la Direction informatique sur les applications et projets qui vont impacter le Système d’Information.

Dans tous les cas, le niveau de granularité des informations à renseigner reste l’élément le plus structurant pour un tel outil. Savoir quoi renseigner, par qui, jusqu’à quelle maille et surtout à quel moment demeure la clé pour garantir un référentiel cohérent et mis à jour régulièrement.

L’Architecture d’Entreprise en libre-service

N’essayons pas de faire monter les projets sur nos vastes outils d’Architecture d’Entreprise. Soyons clairs, ils ne sont pas adaptés à la capacité et à la philosophie des équipes projets. 

Avec un EAMS aussi simple qu’une appli de smartphone (à la navigation fluide, sans formation nécessaire et au contenu aisément partageable), les développeurs membres d’une équipe agile bénéficieraient des apports de l’AE et de sa connaissance du métier, de l’IT comme de l’entreprise dans son ensemble, sans alourdir leur charge.

Peut-être le secret réside-t-il dans la conception à deux entrées de l’outil d’AE : un grain précis et spécialisé pour les équipes opérationnelles et un grain macroscopique pour les responsables de pôle, les architectes et les directeurs (opérations, architecture, études, métier…), gérant les roadmaps et permettant l’alignement du SI sur les besoins du métier.

Architectes et équipes projets, qu’en pensez-vous ?



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