Cette période délicate du confinement par bien des égards a mis en exergue un certain nombre de constats irréfutables :
Les séniors représentent une part importante de notre population,
Les maladies chroniques sont galopantes de part nos nouveaux modes de vie et requièrent des soins fréquents et sur le long terme,
Les économies réalisées à tous les étages du système de santé fragilisent ce dernier, à commencer par le personnel soignant.
La population prend connaissance de ces faits à l’heure où :
sa mobilité est temporairement entravée (au même titre que pour certaines populations à mobilité réduite),
se rendre à l’hôpital fait courir un potentiel risque de contamination malgré les filières d’admission distinctes,
le personnel soignant a lui même peur d’être infecté et doit sans cesse optimiser son temps ainsi que le matériel médical utilisé.
La téléconsultation est une réponse du digital sur le début du parcours de santé.
Elle permet une optimisation à un instant T pour tenter de poser un diagnostic à distance. Elle sera pertinente dans bien des cas de figure mais trouvera ses limites dans certaines situations, la médecine ayant toujours eu besoin de contact physique, d’auscultation pour identifier des marqueurs, des réponses corporelles à un problème donné.
Quelle suite donner une fois le diagnostic posé ?
Dans le cas où l’état de santé permet un suivi à domicile, soit :
un(e) infirmier(e) libéral(e) passera plusieurs fois par jour pour prendre les mesures physiologiques (température, saturation en oxygène, tension artérielle, …), réaliser des soins et remplacer éventuellement les consommables médicaux (perfusions, bouteilles d’oxygène, …). Toujours en courant le risque d’être personnellement infecté, de contaminer sa patientèle non atteinte, et de multiplier les heures et les déplacements.
il conviendra de refaire des téléconsultations pour suivre ponctuellement l’évolution de l’état de santé de la personne malade au risque de surcharger les médecins en téléconsultation ou de louper l’étape charnière avant l’aggravation de la maladie.
C’est à ce moment précis que les objets connectés peuvent être d’une grande utilité !
De plus en plus accessibles via des dispositifs grands publics :
thermomètre connecté,
oxymètre connecté,
tensiomètre connecté,
bouteille d’oxygène connectée,
et bien évidemment montre connectée avec ElectroCardioGramme (ECG), saturation en oxygène, …
Ces objets connectés permettent en toute autonomie de prendre régulièrement (et sur une période de temps étendu) des mesures physiologiques personnelles fiables et de les télétransmettre à une plateforme médicale qui pourra automatiquement et très rapidement réaliser des interprétations médicales pertinentes (via des algorithmes d’intelligence artificielle notamment).
Les médecins pourront ainsi consulter les monitoring réalisés mais surtout être alertés automatiquement par la plateforme en cas de risques prédits ou décelés pour intervenir au plus tôt et sauver des vies.
Les avantages sont nombreux :
Autonomie de la personne à domicile,
Désengorgement des hôpitaux (en particulier les services d’urgence) pour le suivi simple,
Libération du personnel soignant pour qu’il se consacre aux situations plus complexes,
Optimisation des moyens matériels médicaux,
Réduction des déplacements inutiles et donc des risques de propagation,
…
La situation délicate dans laquelle nous nous trouvons actuellement met en relief tout le potentiel que peuvent nous apporter l’ensemble de ces nouvelles technologies.
Bien des questions (respect des données personnelles, confidentialité, secret médical, …) restent à instruire en périphérie des débats technologiques, mais à l’heure du Dossier Patient Informatisé, de la téléconsultation, nul doute que la télémédecine prennent de l’ampleur, bien aidé par le développement croissant de l’Internet Of Things.
Le Big Data est maintenant passé au stade industriel pour beaucoup de moyennes et grandes entreprises. Les objectifs qui doivent être atteints pour ce type d’initiatives étant de dé-siloter les données de l’entreprise et d’en favoriser l’accès.
Ceci a donc donné lieu à toutes sortes de projets de plateformes Data Centric : Data Lab, Data Hub, Data Lake, … Certains de ces projets ont échoué, d’autres ont réussi. Nous avons regroupé dans cet article les astuces et principes qui nous semblent clés pour réussir votre projet de Data Hub.
Tout d’abord qu’est-ce qu’un Data Hub ?
Auparavant les traditionnels entrepôts de données ne traitaient que des données structurées ayant préalablement subi une transformation technique avec une logique métier particulière. Ceci rendait complexe toute intégration d’une nouvelle source de données ou projet d’évolution de cet entrepôt de données. Le Data Hub permet de répondre aux critères ci-dessous :
Découpez votre projet de Data Hub en 4 grandes étapes
Le Data Hub ne se résume pas à une plateforme technique pour sauvegarder un historique de vos données d’entreprise. Les architectes ont un vrai rôle à jouer dans le projet afin de définir le positionnement de cette plateforme dans le paysage SI de votre entreprise et par rapport au cycle de vie de vos données comme nous l’indiquions dans cet article : un data lake sans architecture est un vrai saut dans le vide.
Vous pourrez ensuite lancer votre projet de Data Hub au travers de ces 4 grandes étapes :
1 . Identifier vos principaux usages
Comment faire pour sélectionner les sources de données qui alimentent votre Data Hub ? Faut-il chercher à tout historiser et trouver les usages ensuite ? Faut-il d’abord définir un langage commun avec tous les métiers et définir les concepts associés avant de pouvoir les valoriser ? Pour ce faire, nous vous proposons une démarche pragmatique en partant des cas d’usages métier auxquels vous souhaitez répondre. Ceci vous permettra d’identifier rapidement les sources de données pertinentes pour votre Data Hub, qu’elles soient internes/externes à l’entreprise, déjà existantes et accessibles ou à acquérir/enrichir depuis différentes sources.
2 . Cadrer l’architecture,
Quand viendra le temps de définir l’architecture de votre futur Data Hub, il conviendra à minima d’adresser les principaux domaines fonctionnels suivants et d’identifier ensuite les technologies les plus appropriées en fonction des catégories de cas d’usages que vous avez choisies de traiter :
Avant de mettre en production la ou les briques de stockage, il faudra définir et convenir d’une politique et de règles d’urbanisation afin d’organiser les espaces :
Exemples de besoins qu’il faudra gérer:
3 . Démarrer l’industrialisation et la gouvernance de vos données
La gouvernance de vos données dans le Data Hub doit commencer dès le début de l’ingestion en créant une fiche d’identité de cette source de données que vous compléterez par des métadonnées. Ceci devrait permettre d’avoir une classification de cette donnée et lui associer les responsables.
Exemples de métadonnées pouvant y être associés :
techniques (description du format et des colonnes) via un dictionnaire de données,
métiers (à quel terme ou objet métier fait référence cette donnée) via un glossaire métier,
responsables métiers et IT.
tout autres métadonnées servant à qualifier vos données: confidentialité, type de donnée (référentiel, opérationnel, etc), application source, …
les politiques et règles associés à vos données lié à la qualité, à une réglementation où à la sécurité.
Ces informations devront ensuite être centralisées et partagées au sein d’un Data Catalog. Celui-ci deviendra ensuite la pierre angulaire qui permettra d’opérer et piloter votre gouvernance de données que ce soit en terme de qualité, de partage, de conformité ou de son cycle de vie via du Data Lineage.
Malheureusement plusieurs organisations font le choix d’adresser cette problématique plus tard pour différentes raisons. Le risque de ne pas adresser dès le départ cette gouvernance est de vous retrouver dans un marécage de données (Data Swamp) où il vous sera très difficile d’identifier les données qui ont de la valeur pour vos usages ou tout simplement de déployer les mesures de sécurité conformément à leur niveau de sensibilité. Prenez le temps d’urbaniser et structurer votre Data lake (lac de données).
4 . Qualifiez vos données et déployer vos usages
Un autre défi qu’il vous faudra relever est de bien qualifier la qualité d’une source de données par rapport à vos usages. Le monitoring de cette qualité pouvant se faire au travers plusieurs dimensions :
Les propriétés de vos données :
Est-ce que le schéma de vos données est stable ou sera amené à évoluer ?
Est-ce qu’il y a des patterns de format à harmoniser pour certains attributs comme les dates par exemple ?
Quel est le volume attendu ?
Quel est le niveau de performance attendu par les usages métiers ?
Les patterns d’ingestion et consommation
Comment sera alimenté le Data lake ? Par API, message, fichier plat ?
Quel format d’exposition sera le plus pertinent ?
Disponibilité, complétude et intégrité
A quelle fréquence seront rafraîchies les données ? Quelles sont les règles techniques et métiers à mettre en place afin de s’assurer de la bonne qualité de vos données pour vos usages?
En conclusion, vous trouverez ci-dessous le récapitulatif des grands principes à respecter pour réussir votre projet de Data Hub :
Rhapsodies Conseil a participé à une interview organisée par Currencycloud en live le 8 juin 2021. Lors de cet événement, Stephen Lemon, le co-fondateur de Currencycloud ainsi que Ikbel Snoussi, notre Senior Consultant en Digital Payment Experience parlent des éléments clés à considérer lors du choix d’un fournisseur de service de paiement.
L’écosystème des services de paiement devient de plus en plus complexe, amenant à une explosion du nombre d’acteurs intervenant dans celui-ci au fur et à mesure des années. Le choix d’un fournisseur de service de paiement paraît alors compliqué, et nous allons vous aider à y voir un peu plus clair.
Il est très simple d’être attiré par des solutions globales et connues de tous mais la réalité est tout autre. En effet, il est primordial de se focaliser sur ses besoins spécifiques et se poser ainsi les bonnes questions :
Quelle offre je souhaite donner à mes clients?
À quelles contraintes dois-je faire face? Quelle législation?
Quel est mon budget?
Quelle architecture? Quelle roadmap?
Toutes ses données sont donc aussi importantes les unes que les autres lors du choix d’un fournisseur de service de paiement afin de garantir une expérience client adaptée et personnalisée.
Vous souhaitez (re)voir l’interview dans son intégralité? Cliquez sur le lien vers la vidéo YouTube ci-dessous.
Vous pensez avoir fait le plus dur en réalisant des brainstormings, des ateliers d’idéations avec vos pairs pour identifier LE cas d’usage innovant et connecté permettant de vous démarquer de vos concurrents sur le marché ?
…En réalité, le chemin est encore long et sinueux pour réussir à disposer d’une offre de service fiable à mettre dans les mains des consommateurs finaux.
Dans cet article, nous vous guiderons sur les grandes étapes et les différentes stratégies à adopter pour mettre sur le marché une offre IoT.
1. La gestion du cycle de vie de l’objet (Design, Production, Distribution, Exploitation / SAV)
Ces différentes activités constituent des métiers à part entière qui n’existent pas dans certaines sociétés de par leur positionnement.
Prenez le cas d’un Assureur qui vend principalement du Service (contrat d’assurance véhicule, santé, habitation), ce dernier ne dispose pas nécessairement des ressources et des compétences pour gérer le cycle de vie de cet asset physique (notre objet connecté) nécessaire à la vente d’une Offre Assurance Connectée.
Exemple :
Assurance maison connectée avec pack domotique
Assurance individuelle avec bracelet santé connecté
Assurance véhicule en fonction du profil de conduite calculé par le biais de capteurs (dongle ODB/USB, smartphone, …)
Notre Assureur à plusieurs options de positionnement :
Maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur en concevant et fabriquant lui même l’objet, en établissant des partenariats,
Exploiter les solutions technologiques existantes, en choisissant un objet en Marque Blanche disponible sur le marché (qui répond à ses besoins avec le challenge de l’intégrer dans sa chaîne IoT) et en établissant un partenariat pour sa distribution,
Se focaliser sur l’offre de service aux clients, en s’adossant à un partenaire Business (Startup, …) qui commercialise d’ores et déjà une offre (ex : Axa avec Withings).
En fonction de la stratégie retenue, notre assureur délègue plus où moins fortement certaines activités du cycle de vie de l’objet.
Le choix sera réalisé en fonction du contexte, sur les forces et risques de chacun des modèles.
2. Mise en place du SI Innovant IoT (Transmission, plateforme IoT, Exploitation des données IoT)
L’objet IoT est la partie émergée de la chaîne IoT, les autres maillons non perceptibles de l’utilisateur sont néanmoins complexes à mettre en oeuvre et primordiaux pour le service rendu.
Prenons le cas d’un constructeur automobile qui a l’habitude de gérer le cycle de vie d’un objet (conception, vente, SAV du véhicule) mais qui n’était pas jusqu’alors familier avec la dimension Service / Software / Plateforme.
Doit-il développer lui même la chaîne IoT ?
Doit-il prendre une chaîne IoT sur étagère ?
Dans le cas d’une Entreprise ayant déjà entamée une transformation digitale data / event, la mise en oeuvre de la chaîne IoT s’en trouvera facilité. L’IoT pouvant être considérée comme une source de donnée à part entière… avec ses particularités.
Comment intégrer la chaîne Data existante avec la nouvelle chaîne IoT ?
Ces questions trouvent en partie leurs réponses en fonction des choix faits sur la Stratégie Objet.
Aussi dans le cas d’un partenaire business vous bénéficierez très certainement de la chaîne IoT de ce partenaire.
Il convient de bien cadrer également les données auxquelles vous souhaitez avoir accès.
Devez-vous récupérer :
L’intégralité des données IoT (télémétrie) pour que vous puissiez réaliser vos traitements métiers ?
Ou seules les macro données vous seront nécessaires ?
De façon générale, il conviendra de garder en interne votre logique métier qui constitue le fondement et la valeur ajoutée de votre offre.
Le développement d’une Offre conduit à des choix structurants et complexes.
Se lancer seul en pure autonomie sur chacune des activités peut offrir une grande liberté pour être percutant et disruptif… mais vous expose à de nombreux risques.
En tissant des partenariats, en créant un écosystème autour de vous, vous perdrez en autonomie mais en revanche, le risque sera distribué, davantage maîtrisé optimisant ainsi la facilité de mise en oeuvre et la durée du projet.
Sur le long terme, le champs des possibles en sera plus étendu pour peu que les règles du jeu soient claires et la gouvernance solide.
Que s’est-il passé en 2019 dans l’univers des virements et des prélèvements ? Une rétrospective générale de l’année écoulée nous permettra de comprendre le passé pour mieux cerner les enjeux à venir pour l’Europe et le reste du monde.
Extension et réduction SEPA
L’année 2019 a vu arriver dans la zone SEPA deux nouveaux pays, le Vatican et Andorre, portant à trente-six le nombre de pays participant aux échanges européens.
Cette même année a également validé démocratiquement, par la victoire électorale de Boris Johnson, la volonté anglaise de sortir de l’Union européenne. Bien que le BrExit ne signifie pas nécessairement sortir de la zone SEPA, il imposera de considérer le Royaume-Uni comme un pays extérieur à l’Union européenne (« no-deal BrExit ») et de lui appliquer des mesures similaires à celles en place pour des pays comme la Suisse ou Monaco.
Statistiques
L’EPC a publié les statistiques de 2019 relatives aux échanges effectués en 2018. Les histogrammes ci-contre en illustrent les résultats. Pour des raisons légales locales, certains pays ne communiquent pas de données.
À l’aide des informations recueillies, le résultat est sans appel ; les valeurs indiquent clairement que l’Allemagne et la France restent des émetteurs et des récepteurs majeurs d’opérations SEPA. La carte ci-dessous propose une autre vision ; elle colorise les pays en fonction de leurs volumes de virements. Les pays ne communiquant pas leurs données restent gris au contraire des pays qui, au moment de la publication, n’avaient pas transmis les informations requises soit pour des raisons légales similaires aux premiers soit pour des motifs de disponibilité.
Ces chiffres ne doivent pas cacher certaines réalités. En effet, ils ne tiennent pas compte du dernier né des produits SEPA, le SCT instantané et, plus généralement, des solutions Instant Payment locales. Ainsi, des pays très en avance dans le domaine des paiements instantanés, comme le Danemark, ont des volumes de virements quasiment nuls. Il est aisé d’interpoler que les quantités de virements échangés auraient été bien plus importantes si les solutions IP avaient été mesurées. Ainsi l’omniprésence des échanges instantanés pourrait entraîner l’abandon local du SCT à son profit.
En 2019, les champions du SDD restent les allemands suivis d’assez loin par la France et l’Espagne. Pour la dixième année consécutive, le SDD reste un produit de paiement très germanique.
Les produits
SCT Inst.
À la fin de l’année 2019, le SCT Instantané, l’IP SEPA, souffle ses deux bougies ; il est présent dans vingt-deux pays avec une couverture de 51 % des PSP (Payment Service Providers). Pour le moment, l’arrivée du SCT instantané dans l’Hexagone n’a pas modifié le paysage des moyens de paiement ; il y reste un produit optionnel. Les français semblent rester très attachés aux moyens classiques à l’opposé des pays scandinaves pour qui l’IP est « le nouveau standard ».
RTP
Publié à la fin de l’année 2019, le projet de mettre en place la RTP (Request-to-Pay) en Europe a été ébauché par l’EPC. Il consiste à déployer un message qui servira à avertir le débiteur qu’une facture, une prestation ou un achat doit être payé. Le message transportera le détail de la facture et les données complémentaires qui permettront lors de la validation du message de fabriquer un virement complet potentiellement très détaillé. Ce message vient en concurrence direct du SDD très peu utilisé dans beaucoup de pays d’Europe. En effet, la RTP, par rapport au SDD, s’affranchit des signatures de mandat et des questions liées aux demandes de remboursement ou à la protection du débiteur. Elle dématérialise les factures, facilite la création des messages de paiements, favorise la réconciliation comptable et transforme en virement irrévocable un paiement qui aurait pu être fait par un autre procédé révocable. La RTP fait écho au RfP (Request for Payment) en cours de développement aux États-Unis et sur le Correspondent Banking de SWIFT.
ISO 20022
Bien que distinct du SEPA, cette norme internationale continue à se répandre dans le monde. À la fois pour des paiements domestiques comme au Canada en 2016, en ce moment aux États-Unis (suivi par la NACHA), mais aussi pour les paiements internationaux comme la Russie (suivi par la ROSSWIFT et deuxième pays après les USA en nombre d’utilisateurs de SWIFT).
SWIFT, à travers le programme d’harmonisation ISO 20022 à l’échelle mondiale, abandonnera les messages MT au profit des MX pleinement conformes à la norme ISO 20022. La migration commencera en novembre 2021 pour se terminer en 2025 avec l’arrêt des MT. Cette uniformisation (dont le nom de la norme « UNIFI » est évocateur) permettra aux utilisateurs de gérer avec un seul format aussi bien un virement domestique qu’un transfert international n’importe-où sur Terre. Les pacs.008 et pacs.009, successeurs des MT103 et MT202 ont déjà été publiés par l’institution.
2019 est terminé. 2020 arrive avec des évènements politiques, des nouveaux produits et la poursuite de nombreux projets interbancaires. Les moyens de paiement sont en pleine évolution et cette dernière va se poursuivre tout au long de cette nouvelle année.
Poursuivons notre voyage dans le monde merveilleux de l’Initiation de Paiement.
Après les cas d’usages dans l’épisode 1 : Les Promesses de l’Initiation Paiement, Grégoire aborde la question critique de la fluidité du parcours utilisateur :
Illustration au travers de différents parcours utilisateurs…